Dieu que j’ai mal commencé l’année 2012, une vraie saloperie. Dieu que j’avais perdu tout espoir dans la nature humaine. C’était insupportable, c’était l’aboutissement d’un processus long et pervers.
J’aurais voulu les tuer, mais au bout du compte je plains leurs proches et je leur pardonne car ce sont des malades qui s’ignorent.